Mon Potager à Tout Prix

De nos jours, faire son propre potager est devenu symbole du retour à la nature, et de l’autonomie. Cette pratique, s’étant perdu après avoir été la norme, est devenue une nouvelle “mode”, derrière laquelle se cache une réhabilitation de la détente et un engouement pour les produits coméstibles naturels.

Ces jardins ne servent pas uniquement à l’esthétique, leur intérêt est surtout de pouvoir s’alimenter de sa propre production de légumes, carottes, tomates… et retrouver les goûts d’antan. Ce concept du jardin potager citadin fait de plus en plus d’émules. La France redécouvre ses délices : écoles, crèches, cliniques, grandes entreprises… s’y convertissent.

Jusqu’aux métropoles, cultiver son jardin redevient possible. New York par exemple, met à profit 3500 ha de toits plats pour développer l’agriculture urbaine.

 

Mis en ligne par Permaculteurs.com
A découvrir sur le sujet :

Potager Urbain

 

Photo d’illustration tirée du site Nibelle

9 Comments

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  1. j’aime mieux le verbe “aller” que le verbe “retourner”, … et puis, “retour à la nature” fait trop expression de “retour” à l’ancien temps. … or, ce n’est pas vers l’ancien temps que nous devons retourner. … c’est vers une nouvelle approche de la vie en coordination avec l’environnement (la nature), que nous devons aller.

    • faut faire un retour en arrière à l’époque des chasseurs -cueilleurs et aux premiers agriculteurs , car c’est nos ancêtres qui avait les connaissances , mieux vaut s’établir sur des savoirs et des bases sure 😉
      Avant la 2″guerre mondiale , avant le plan marshall , on avait une agriculture plus saine que maintenant

    • Les ogm, pesticides, engrais chimiques, médicaments de synthèse (bien que parfois utiles c’est vrai), edulcorants, colorants, aromes synthétiques, E …. Et bien d’autres éléments d’aujourd’hui créaient aussi des ravages. Et pourtant c’est ce qu’on appelle le progrès. Perso je suis vraiment pas contre un “retour en arrière”

    • je ne l’ai jamais nié, et je milite depuis bien longtemps (publiquement depuis la campagne présidentielle de René Dumont, en 1974 !), contre la chimie et la manipulation génétique, mais le choix n’est pas là. … le choix est dans ce qui n’était pas nocif auparavant, et ce qui peut devenir acceptable dans les anciennes méthodes et productions.

    • Cela dépend fortement des circonstances et but de chacun. C’est vrai que dans la majorité des cas ca sera dans le but d’un retour à une certaine simplicité. Pour ma part, outre le plaisir de consommer ce qui sort du jardin (pas encore très productif mais on y vient), c’est surtout de voir la nature se remettre en place qui fait plaisir : des plantes se semant toutes seules, l’incroyable diversité d’insectes faisant leur apparition et les plantes poussant un peu partout… Plutôt qu’une simple pelouse c’est vraiment agréable.

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