De nos jours, faire son propre potager est devenu symbole du retour à la nature, et de l’autonomie. Cette pratique, s’étant perdu après avoir été la norme, est devenue une nouvelle « mode », derrière laquelle se cache une réhabilitation de la détente et un engouement pour les produits coméstibles naturels.
Ces jardins ne servent pas uniquement à l’esthétique, leur intérêt est surtout de pouvoir s’alimenter de sa propre production de légumes, carottes, tomates… et retrouver les goûts d’antan. Ce concept du jardin potager citadin fait de plus en plus d’émules. La France redécouvre ses délices : écoles, crèches, cliniques, grandes entreprises… s’y convertissent.
Jusqu’aux métropoles, cultiver son jardin redevient possible. New York par exemple, met à profit 3500 ha de toits plats pour développer l’agriculture urbaine.



je reste réticent par rapport à l’expression : « retour à la nature ». … pourquoi pas : orientation vers la simplicité » ?
retour à la nature rappelle trop le « retour à la terre » de Pétain et de tous les collabos !
j’aime mieux le verbe « aller » que le verbe « retourner », … et puis, « retour à la nature » fait trop expression de « retour » à l’ancien temps. … or, ce n’est pas vers l’ancien temps que nous devons retourner. … c’est vers une nouvelle approche de la vie en coordination avec l’environnement (la nature), que nous devons aller.